jeudi 17 février 2011

Hands in the flesh
Heart in the mouth
The most Painful
is torn into a reel
for you.
Blood on the walls
Sleeping while you
cry from your teeth
colliding non sense.
Vibration into skin
rest is now over
murdered by thousand
drops of death.
Blackout best friend
forgiveness for a
Life.
It is your fault.

jeudi 6 janvier 2011

See i ain't right. I been crushing.
I can't see anymore.
I can't feel anymore.
It feets me well.
I can feel again.
I can feel again.
I've been used to cold fleshes,
i've been runnin into iced bones.
This suited me well.
That suited me well.
Since you planted your sweet tommy scar in my brain
since you planted your fuckin collarbones in my breast
I don't wanna feel anything more
I don't wanna feel anything anymore.
I'd like to tell y'all bitterness doesn't taste anymore
crocodiles ain't goin nowhere
my feet on the floor just to make you die
i been followin you
i will follow every inch of you
whatever's your name
i'm going mad for you behaviour
i ain't goint nowhere
my tooth are forming a circle
on the floor
a circle
he dies
he dies
he's not old
he's not sure
he dies
he dies
he dies
He ain't goint nowhere anymore, his skin overlapping the slippery horizon
(...)
She's pretty
She does
she does
take a bow.
She's pretty and useless, his skullhead screwing up her yellow hair, put him on the pedestal
screw you up on the floor
she doesnt want to see its useless
anyway she is
(...)
i can still smell grass on your hair
falling on ice.
(...)
cut
your eyes
i see it your eyes
your eyes
cut
your veins
follow
blue edge.

samedi 13 novembre 2010

Je ne sais pas si c'est la période qui le veut. Ou peut-être est-ce nous, dans ce désir de perdition qu'on découvrira peut-être chez les jeunes gens, de façon sûre cette fois, avec du retard aussi. Ou peut-être qu'il s'agit uniquement d'un état de pourriture avancée. Peut-être.

Tout ce qui se profilait de façon assez sûre pour ne pas songer au suicide imminent, ce qui en réalité sentait déjà la mort, se recroqueville jusqu'à être oublié. Il semblerait, dans un état contemplatif, que tout se replie autour de moi en me murmurant "c'est de ta faute". Les répétitions, celles qu'on avait le droit d'appeler ainsi, se sont arrêtées depuis le premier concert. Comme si le début marquait une fin.

Je m'évertue à débourser trop d'argent pour ma situation afin de revoir des gens qui m'oublient aléatoirement. Je fais un pas pour compenser l'absence du leur. J'en viens à me demander si le principe de l'amitié, principe au nom stupide sur lequel je crache désormais, n'est pas censé, lui au moins, se baser sur une réciprocité. Qui me court après ? Après qui je cours ? Je cours éternellement. Alors qui me cours après ? une personne qui le murmure à mi-mot et que j'ai du retenir pour éviter sa mort prématurée ?
Un père qui mourrait de son absence ? Et puis non, nous avons abandonné tous les deux depuis bien longtemps. Une mère ? J'ai oublié le sens de la communication.
On passe, le temps de refermer ce bouton, à cette manche, de l'état de plénitude douloureux et absent à vouloir se prendre cette voiture, celle-là, ou celle-là, à chaque coin de rue, peu importe le goudron, pourvu qu'il m'envoie en l'air pourvu qu'il...
Cette rue autrefois si effrayante, son absence de sons, cette lueur qui guette et ses reverbères qui ne tiennent pas la route, a pris le goût insipide et amer du mensonge : on dirait que ces chalets ont été montés pour l'occasion, de papier de verre et de sang. La terrible maison de laquelle je m'échappais pour faire l'amour n'importe où n'importe quand avec n'importe qui est désormais un refuge affreux mais vital.


La solitude semble être bien plus sûre que n'importe quoi d'autre.
Sonnez simplement ce soir, l'appartement vous est ouvert.


Personne ne viendra. Et je ne courrai après personne.


mardi 20 juillet 2010

A l'inverse humain. Alors nous ne sommes pas.
4 semaines auront passées, tout au moins. J'ai peur de t'y retrouver indifférent et à chaque mot, fut-il le plus banal et le plus honteux pour moi, mon coeur s'arrête à la joie de ne pas y voir l'indifférence. Pire des tortures.
J'imagine que mon coeur accélère son battement un peu à chaque seconde à l'idée de te rejoindre, oh ridicule !
Je suis probablement morte.

mardi 4 mai 2010

Lettre cinq.

Mardi.
Il me semble que ma fatigue d'aujourd'hui n'a pas pour origine que le travail que je suis incapable, par ailleurs, d'accomplir - de trop y penser.
Je ne sais pas s'il s'agit simplement de repousser ma fierté en te disant, t'envoyant les mots. J'y pense, A. m'a regardée de façon étrange, j'ai peur qu'elle ne sache, j'ai peur qu'elle ne me déteste, tant de gens semblent me détester : ce n'est que le reflet de ma propre haine.
Tu vois, rien que cs premières lignes expriment comment je me sens actuellement : floue, emmêlées. Je crache déjà sur cette lettre, je suis agacée de ne pas parvenir à te dire exactement ce que je veux - quand bien même ! quelle honte ! il s'agit de lettres de l'interdit que je m'interdis par définition de te faire parvenir, de peur que tu ne fuies.

***

Je reconnais avoir beaucoup manqué. J'ai mal géré les pions ; cependant aujourd'hui même je ne sais pas comment j'aurais du faire, et encore moins comment je dois faire.
Ma seule envie, qui peut-être est finalement la bonne mais me demande trop de témérité étant donné les circonstances offertes, revient à être seule devant toi.
Alors je te dirais 'c'est à toi, c'est à toi', ou t'embrasserais on ne peut plus doucement pour ne pas de brusquer, mais cet affront m'effraie déjà en soi.

lundi 3 mai 2010

Lettre quatre.

Je me précipite comme pour essayer une dernière fois de ne pas te perdre.
Peut-être que là encore j'aurais la chance de t'avoir gardé, mais cela dépend plus que jamais de toi. Seras-tu l'enfant ces fois-là, ou joueras-tu de nouveau avec brio et élégance.
Je te supplie de mes yeux défunts, de mon âme en alerte, de ma chair en extase dans le souvenir des jours révolus, gâchés par tant de jalousie non-dite, et dont je ne peux que murmurer le nom de peur de me tromper ; et, à tant de kilomètres, à tant de distance, ton cœur peut très bien aller vers la facilité, et j'en meurs.
Je hais les tortures que tu m'infliges, jouant de sa petite âme. Je suis une fille facile à ton écueil depuis que j'y ai ouvert de ma lame, seulement, hier, j'ai quitté : tu y as vu mille incapacités. Quand tu reviendras, j'aimerais courir à ton refuge, y embrasser goulument, tendrement, désespérément, quitte à dire au revoir comme il se doit cependant.
Comme il me blesse de voir tout cela finir maintenant, pourquoi le tuer, je t'embrasserais mille fois s'il le faut, plutôt que de te voir tenir la lame. Je jure d'écouter tes paroles si seulement tu daignes en dire. Si je fais ce que j'ai fait et ce que je rechigne cependant à faire, il s'agit probablement d'oublier, mais encore plus, ou d'autant moins, de te voir, palpitant de jalousie. Seulement plutôt que de me le dire, tu préfères m'insulter sauvagement, pour me voir souffrir plus certainement et plus directement.
Allons tu le sais que je m'ouvre pour toi et à toi. Il n'y a pas besoin de paroles; Pourquoi douter de moi. La seule personne qui se doit d'être perdue ici, c'est bien moi. Jamais tu ne m'as dit m'aimer. Et je l'ai cru si fort pour m'en soigner, pour croire que j'avais une quelconque valeur. Et de plus en plus, tes caprices et tes crises, tes possessivités me poussent à le croire.
Pourquoi mentir ?
Pourquoi lui faire croire que je dévoilais tout au Danger alors qu'il me volait un baiser ?
Pourquoi écarquiller les yeux devant icelui, tirant nerveusement sur le tabac, alors que tu devais l'avoir aisément. Il eut suffit que tu me le demandes et rien qu'à l'imaginer, imaginer cette idée, je sens le plaisir culminer et mon ventre se déchirer.
Je t'aime allons, je n'ai de cesse.
Quand bien même je ne te le dis pas, c'est pour bien te préserver, et aussi, dans un égoiste suprême que je me réserve sans fougue, c'est bien pour me préserver aussi, je ne peux me détruire de trop. J'ai une humilité, une fierté, je ne puis offrir ces mots à tout le monde. Personne ne les a connus réellement. Allons, je ne t'aime pas. Je ne t'aimerai probablement jamais, non, je me passionne, de toi, de tes bras, de ton odeur, qui est absente, de ton jeu, qui me lasse, de tes cheveux, que je n'aime pas, de ta bouche, que j'oublie, de tes dents, qui me font sourire, de tes yeux, mais pas de leur forme, de ton corps, qui me déplait, de tes oreilles, que je ne connais pas, et je m'en étonne, de ta petite forme qui n'a rien de bien plaisant à une femme comme moi, tu n'as rien, rien pour toi, que l'obsession d'une inconnue.
Allons, pourquoi fuir, je me tairais j'ai dit, je me tairais autant qu'il le faut, je le promet, et je ne ressens nul besoin de le promettre, je le ferais c'est ainsi. Elle n'aura pas besoin de savoir, comme personne, tu pourras dire 'je suis en couple', ou 'je sors', ou encore 'j'aime' et ne pas m'aimer, comme je ne t'aime pas. Tu pourras dire 'je ne suis avec personne' et surtout 'je ne veux personne'. Tes libertés ne seront pas entières, dans le sens où tu me dois le respect, cependant tu pourrais encore flirter, pour l'idée, et m'aimer, passionnément, te passionner, et surtout partager l'amour de draps, et des cendres, après, et m'aimer, sans m'aimer, je ne t'aime pas.
Je ne te prendrais rien d'autre que tes regards dans l'abandon, ta main, je la baiserais, tellement, et ta peau, je la dévorerais, dans un instant trop court. Laisse moi m'y droguer, m'y laisser, un peu, avant de t'en aller.
Si j'avais l'affront de manger ta bouche avant tout.

Lettre deux.

(Au coin d'un cahier le lendemain de la première, comme je ne peux attendre)


Je ne peux attendre d'y être pour m'alléger. Le poids est donc si lourd. Et je te sens irrémédiablement attiré par ma présence, si bien que tu pourrais t'y reposer toujours : je ne te laisserai pas. Peut-être s'agit-il de cela, tu le sens, au jour où tout le monde détruit ta confiance tu sais que par cette alliance j'en mourrais de te laisser tout à fait. Je suis rongée par ta douleur et je la sens traverser les murs et les autres j'ai envie de tendre mes bras pour que tu t'y soulages : mais le droit ne me semble pas laissé. C'est que je suis morte de peur et bien vite je me suis retirée tout à l'heure, ayant bravé une interdiction et ployant sous ta peine. Ou peut-être s'agit-il d'une mise à nu qui expliquerait tout cela, et ton rapprochement qui semble si logique soudain mais m'empêche de faire culminer ma douleur pour la tuer autant que possible. Plus que jamais te demander ma compréhension et j'hésite à m'ouvrir de peur de ne pouvoir la fermer ce qui finalement soulignerait (?) ultime beauté. Me voilà donc (?) sacrifiant mon âme plutôt que la tienne.

Lettre trois.

Je devrais te les envoyer. Je devrais tellement.
Peut-être que nous tuons tout.
Peut-être nous tuons nous.
Je sens, à quelques jours près, la culpabilité dévorer mes chairs.
Je n'ai pas envie, malgré tout, ton idiotie, ta faiblesse à dire 'oui', trois lettres évidentes, je n'ai pas envie, malgré tout, tes paroles odieuses, tes actes d'enfant, je n'ai pas envie de t'y laisser.
Et si tu m'ouvrais la main, grande, paume vers le ciel, tu aurais le droit de fermer les yeux, ou de les ouvrir bien grand, de me laisser avaler 'those deep eyes', dans une concordance parfaite, plutôt que d'extasier ta vanité à tout ruiner.
Je me damnerais.
Je me damnerais pour ta petite âme fraîche et confuse, embrumée par des siècles dont je ne connais rien, moi qui pourtant te dévore aussi facilement que si tu m'étais.

Une partie de moi refuse de t'abandonner. C'est que tu me retiens quand je me désenchaine, que tu me dis de rester à mi-voix, si peu que j'en doute infiniment, alors qu'il te suffirait de m'arrêter d'un mouvement pour peu qu'il soit juste.
Allons ne t'amuse pas ! Soit hanté, petit enfant des mondes perdus, combien je te déteste.
Je ne sais ce qui est le pire : te laisser me retenir ou me laisser t'aimer, ou bien ne plus t'aimer, refuser de t'aimer, j'ignore tout.
Ne peux-tu pas avoir un peu d'indulgence pour celle qui t'aime, celle que tu aimes assez pour refuser de la voir autrement qu'à toi ? Allons je te demande pardon, je me soumets une dernière fois, mais prends alors.

dimanche 25 avril 2010

Lettre une.

Je commence une peut-être longue, ou plus que brève, ou unique, ou seule, ou que sais-je, une longue série que je baptiserai Lettres de l'Interdit. Il s'agit de ce que je ne suis pas foutue de dire, pas capable de dire, là où le courage me manque, là où j'ai peur de briser.
Si ces lettres doivent être vues elles seront vues, si tu me lis tu les liras, ou peut-être les ignoreras-tu si tu dois les ignorer. J'espère qu'elles auront une valeur, puisque d'avance je sais que leur beauté atteint des sommets - mais leur taille ?

Il s'agit plus encore que jamais d'étalage de chair, je m'éventre sans pudeur - j'en tremble d'avance - je pourrais aller en vomir.



(D'avance, je te décerne une lettre choisie par mes soins, par pudeur tout de même)






***



F,

Le jour où j'aurais su te parler aurait tout libéré. J'aurais été le naturel à l'état de nature, l'être que je suis, seulement tu le sais mieux que personne - ici personne n'a le droit de faire sortir son monstre.
Désormais il s'agit de cela. Je t'avais interdit de le différencier de toi de cette façon, m'obstinant - bancale ! à te le faire l'accepter. Pour cela il eut fallut que je prenne moi aussi soin du mien, plutôt que de le laisser grandir dans tous les sens.
Je me figure un monstre (qui n'est en fait que ma réalité) qui s'étire dans tous les sens, ma folie, ma grande folie ! elle éclate désormais, non pas toute entière mais plus encore qu'avant.
Elle appuie parfois si fort sur mes poumons que j'en suis incapable de respirer tout à fait, elle devient physique ! Le crois-tu. Cette force m'émerveille et m'émerveillera toujours, malgré le dégoût que j'éprouve pour elle (mon amour!) et qui grandit.
En effet, comme dit, j'ai oublié d'en faire quelque chose (peut-être s'agit-il de quelques minutes, jours, semaines... mois ?), et donc elle m'est assez étrangère. Je la vois déborder de chaque côté, non pas virulente mais effrayante.
Quelque chose est mort, ou est né, en moi, le soir, la nuit passés. Ce matin j'ai marché, sanglante, et ai croisé une personne de notre connaissance qui s'est affreusement effrayée.
Je suis persuadée qu'il s'agit d'une sorte d'aura, ce fameux shining que je n'arrive pas à contenir. Cette exacerbation est peut-être due aux substances que je n'ai de cesse d'ingérer depuis une très courte durée, j'y crois peut-être si je prends en compte les quelques valeurs décrites par des Hommes que nous connaissons bien.
Il ne s'agit pas tout à fait de cela que je souhaite t'écrire en réalité, mais nous avons tout les deux tendance à nous emporter n'est-ce pas ? Quoique paradoxalement tu en aies moins honte que moi.
La raison de cet actuel mélodrame est dû dans l'immédiat à quelques-unes de tes phrases qui encore une fois m'achèvent. Elles me font réaliser que j'ai oublié de t'aimer assez fort -

Ce que tu as fait, plutôt vous, ça a marqué la fin de quelque chose. De quelque chose qui me touchait moi, et qui me permettait de m'évader. De cette putain d'ambiance morose et malsaine d'en ce moment. De toute cette merde qui régit mon état actuel.


Je ne le supporte absolument pas, étant donné que je m'en sens coupable - tu m'interdis d'y mettre les sentiments, n'est-ce pas ? Mais tu ne me feras pas démentir le fait qu'ils te plaisent tout à fait, qu'ils t'enchantent, et que tu te plais à passer les nuits endormi sur moi plutôt que sur n'importe qui d'autre. J'y mettrais parfois l'idée que tu voudrais bien y passer chaque nuit. Hier encore je m'étonnais, comme je n'aurai de cesse de m'étonner, à ce que tu ne t'éloignas pas de moi : mais tu te rapprochais au contraire, et c'était si indiscret pour une fois que j'y ai vu ton envie de poser ta tête pour t'y reposer. Je suppose que je dois capter quelques énergies, bien que les mots soient faux. Tu y dors mieux que nulle part - tu n'y reviendrais pas avec la douceur d'un enfant si cela n'était pas le cas.
Et quand tu te réveilles en sursaut, tu tournes ta tête vers moi, tes yeux se défroissent et se déplient, ta mine est brouillonne et tendue - mais je suis là. Chaque fois que tu m'as vue sous toi tu t'es rendormis. Tu as cherché ma main sans la trouver tout à fait, et tu savais sans vouloir le savoir, le croire ? qu'ainsi tu m'explosais doucement le cœur.
Il m'est certain que tu y mettrais volontiers plus encore d'interdit, et de violence, mais par peur d'y laisser mon ventre, tu n'en fais rien avant d'être sûr.
Et quand je me décide à t'abandonner tu reviens, ta petite tête chaude et pleine d'amour. Tu es mon enfant aussi sûrement que je suis la tienne, et l'idée de laisser partir mon amant d'une foi révolue me donne la nausée, et l'envie d'y mourir d'avoir trop paniqué.
Tu m'as prise toute entière sans précaution, et en faisant l'erreur de ne pas m'accepter. Quand le poids a pesé sur ta tête une fois qu'elle n'était plus de ton son poids sur mon corps protecteur, tu as réalisé qu'elle était mauvaise... Dieux ! Qu'allons-nous faire ?
J'avais fait mon maximum et les cartes étaient entre tes mains, mon seul choix possible étant la destruction.
Je choisis de t'oublier - mais quoi qu'il en soit, la folie a échappé et plus jamais je ne serais le stéréotype.

Profite au moins que l'on puisse t'aimer tellement.
Je déteste Sarah.

vendredi 23 avril 2010

Elle n'a été que mon reflet.
Ce n'est pas elle qui est morte mais moi.
J'y songe si fort.
J'attends une échéance, un déclencheur, l'interrupteur, il doit bien y avoir quelque chose.
Je veux en finir si fort.
Une mort cérébrale serait parfaite.