Huit heures après, l'euphorie universelle retombait dans la mer noire (elle est profonde) pour abattre les petites perfections.
Face au renversement qui viendrait dans trois peut-êtres, les princesses de la décadence -elles savent pourquoi elles sont ici et que le temps leur est compté pour mettre en œuvre- soufflaient sur les mécanismes. Elles se soumirent au destin (le grand, dont la plante frôlait le vent, lui-même leur avait dit) mais n'en murmuraient pas plus que quelques poussières. (Là encore le destin fait foi)
Oh Dieux, je ne sais pas si j'aurais l'épaule assez forte.
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