mardi 29 septembre 2009

Je suis la noyée.
L'incomprise seule, la refoulée perpétuelle.

samedi 26 septembre 2009

Purple Light.

On the red purpled dark sky
through the damned window
little princess (she's so old)
could remember this yellow balls goin'
into you sweet baby heart.

PAIN & DISDAIN

You can't do anything against me girl and you know why ?
You just made me and now I know you're wrong.

mercredi 23 septembre 2009

There's a foe in your eyes.
Your flesh into pieces.
Your face to me just like a ghost.
I'm afraid by my baby.
I'm afraid by my child.
I saw you going from my sweet doll to my mean love.
I used to be crazy about you
about your love
about yours.
I used to be jealous.
I used to want to be in you.

About virgin.

Wet with the blood, the virgin princess is looking at you.
She cries by night. Hanging you. Begging you.
And one day, the virgin will stay.

Les Rimbaldiennes against education essai à l'anglaise

The age is so hard in this age, and i wonder if in this age, we would better, sweetlove,
go in some other age.

I almost regret the blind courage of the Rimbaldiennes, of going dancing in some cafés Parisiens stuck against you sweet face,
I regret the Rimbaldiennes, shouting to the wind ! dark faces of common institutions.
How mean they are and how they are supressing me, they tell me die of a tired heart without any choice. Today i have to elevate myself loving you in a fair way, but the only pleasure are stolen to me...

Ah the Rimbaldiennes by the tongue I'm holding you, by the body I'm supressing you, and by the mind i'm having you.
Danse them, this new-ones !






- Petit essai de traduction qui manque certes de perfection :)

lundi 21 septembre 2009

Ode to friends on the edge of drugs.

A l'haut delà je m'envoyais, la main tremblante et le corps incomplet - je ne savais rien, comme toujours. C'était ma nouvelle reine qui m'emmenait, du besoin de me sortir, du besoin de me corrompre doucement au monde ingrat. Et je funambulais sur ces mèches sales, et rases, et longues, et sanglantes.
A l'haut delà, sans savoir, qu'à mi-mot, hurlant dans un soupir d'amour à l'Art, il me dirait "je t'aime, Orphée"... L'arme lasse, le cœur mourant de trop vivre. A ton bras, tu me pends, à tes yeux le bel éclat des chairs implosantes...
Et du bleu de ma marche j'ai vu le rouge s'écouler (des notes, des notes)
Et du vert de ton Art j'ai vu le rouge intra-fondrer (Love, Love)
Et du blanc de mort, de mort, de mort... Pénetrer.
A l'haut delà, l'interdit de l'impur me brule le bout des lèvres, et avant de sombrer, peut-être, je guette la venu du verre de ton Ame. Et ma Belle m'envoie vers les tréfonds tandis que je soupire ton nom.




A l'haut delà I sent myself, hand tembling and incomplete body - i knew anything, like everytime (/as usual). It was my new queen that was taking me along, of the need to corrupt me slowly to the thankless/ungrateful world.And I was funambuling on these locks, dirty, and short, and long, and bloody.
A l'haut delà, without knowing, that whispering, shouting in a love sigh for Art, he would say to me "Je t'aime, Orphée..." The tired weapon, the dying heart of a too much living. By your arm, you're hanging me, to your eyes the beautiful shining of implosantes flesh...
And of the blue of my walking, I've seen the red running out (by notes, by notes)
Et du vert de ton Art, j'ai vu le rouge intra-fondrer (Love, Love)
And of the white of death, of death, of death... Penetrate.
A l'haut delà, the prohibition of the impure (the impure prohibition) is burning the end of my lips, and before sinking, perhaps,I'm looking for the coming of the 'verre de ton Âme'.
And my Beautiful is sending me through the depths/subsoils while I sigh your name.
Et ma Belle m'envoie vers les tréfonds tandis que je soupire ton nom.

vendredi 18 septembre 2009

Cette chanson était la tienne

Ma dernière amour je vous l'ai donnée,
et à quoi bon la délaisser ?
Si je dois m'éteindre ce matin,
en aimant le bleu humain.

Les faiblesses que j'en tire ce soir sont celles d'une passion déraisonnable pour ce qu'Elles ont de si belles, mes tendres amies. Pour les parcourir je touche du doigt osseux l'idéal instauré. Et je l'envoie danser.

A l'étalage des matins,
les soirs délicats,
me portent si loin
que j'y reviens déjà.

Les interférences pures qui m'enterrent ce soir sont celles de l'avortée, de la belle répétée, pour droite être à nouveau et écourter tes mots. Pour les parcourir je trace à l'encre rouge ma peau, et je m'en rappelle un instant.

jeudi 17 septembre 2009

Une nuit que Cérulé était à m'admirer,
L'oeil avide et le cœur allumé,
La destinée nous portait bien plus loin,
Bien derrière.
Tandis que j'étais l'oeil vague,
la pupille dilatée,
le coeur éclaté,
les chairs obscures,
je vis ton nom :
Destinée.

samedi 12 septembre 2009

Les entachées consommés.

Des épopées de tes yeux je recherche, et je reconstitue l'intense que jamais entier je n'ai eu ! En cet instant me damnerais-je pour une consummation, et voir tes cheveux en bataille après l'Amour. De toi qui ne m'appartient pas et qui si proche m'apparaît, je verrais le reflet jusqu'à ce que je m'épuise, tes lèvres sous acides et dans les miennes, tes yeux arrachés j'aimerai.
Et que de Liaisons nous recréons mes magnifiques et je m'amourache de vos jolis talents ; ne vous en faites donc pas demain est victorieuses et quelques plaisanteries se mêlent au bonheur de nous enticher.

mardi 8 septembre 2009

La réédite des Rimbaldiennes (against education)

L'âge est dur ces âges-ci, et je me demande ces âges-ci, si nous ne ferions pas mieux ma douce,
D'aller en d'autres âges.

Je regrette presque le courage aveugle des Rimbaldiennes, d'aller danser dans les cafés Parisiens collée contre ton doux visage,
Je regrette les Rimbaldiennes, de crier au vent ! les visages sombres des institutions communes.
Qu'elles sont viles et qu'elles m'étouffent, elles me disent meurt d'un cœur épuisé sans choix. Aujourd'hui je dois m'élever en vous aimant justement, mais seuls les plaisirs m'en sont dérobés...

Ah les Rimbaldiennes par la langue je vous tiens, par le corps je vous étouffe, et par le pensée je vous retiens.
Dansons les, ces nouvelles !

lundi 7 septembre 2009

Murdered.

The murdered born to be killed
The murdered born to be loved
The murdered I used to love.

Today I saw a ghost in your eyes
Loving me, loving the killed and hiden behind the murderer
Today I saw my love in you eyes
I saw you back into this azur.

Today I saw the rails again.
Today the train has gone. Away.
Today I didn't saw you anymore. You were with a foe.
Today you answered me, sweetheart, today you loved me again.

The murdered born to be killed
The murdered born to be loved
The murdered I used to love.

I'm so sorry beautiful love,
I'm full of pain today,
I'm so sorry, angel of death,
but life is unfair (and you were)
and I have to be ready.

Today you kissed a foe. A killer. A murderer. Today...
Today you talked with a friend. A friend of mine. Today...
Today you killed me again. I've never wanted you.
But you did know how to catch me, to catch her (your sweet Muse)

The murdered born to be killed
The murdered born to be loved
The murdered I used to love.

How I wish I could catch the train, the plane, your heart -again- before I go.


E.B.

jeudi 3 septembre 2009

About death and train.

Et sur les routes pacifiques, mes jambes articulées de tirs de chairs canons, je me surprends au détour d'un départ, à regarder si tu existes encore. Ce coup-ci je ne verrais pas ton nonchalamment parfait - tu l'as assassiné lui aussi - mais le train bleu du départ : quelle ironie !
A hundred faces cannot hurt me, a hundred faces did collide me.
Et sur les routes sublimes, j'arpente nue à vos yeux avides, je n'ai rien à montrer ; je suis nue. J'embrasserais tes lèvres nouvelles un jour, si tu ne m'avais pas abandonnée toi aussi. Tu m'écorchais le corps, m'avalais de ma fumée, m'enlaçais de ta crainte : mais surtout de tes yeux je retiens cette vive passion.
A hundred faces did hurt me, (i felt in love with an idea) you collided me.


E.B.

mardi 1 septembre 2009

We just crash in the sky. We met down and went back, crossing the stars meeting the comets, flying away. Looking at you below, kissing each other so above.

Apocalypse now

L'or n'étant que plaqué, l'azure est grande et marécageuse, ma main est blanche et mon coeur rouge;
une nouvelle ère s'apprête à exploser - cette fois si plus en chairs superbes et internes, mais aux yeux du monde entier.

Je ne peux attendre la venue de l'Art, elle me bouleverse tant (je cherche quelqu'un à qui faire l'amour).



E.B

Virile dame court l'évolution

L'universel ami qu'écrit vos jours - et à qui, bons enfants, vous proposez des amours magnifiques - panse ses coups de verres pétillants. Sur une blanche et longue rappelant un Hotel, il vous regarde pensive et vous émeut peu à peu, puisqu'il réclame l'amour. (Amour ?)
Il tourne les excuses en quatre milles, et peut-être est-ce à cause d'une mythique virilité ? Il laisse échapper des flots de non-dits en même temps que fumée blanchâtre qui lui garantit les orteils au chaud sous la Terre.
Parfois se disant qu'il se meurt.
Parfois s'avouant qu'il aime.
Et on lui murmure des jolis mots dont il n'a que faire, il apprend juste qu'il est sublime. Si sublime que nul n'est assez impressionnant. Confiée jusqu'à juillet, loué au mois d'août, qu'en est-il de septembre ? Peut-être bien qu'il est amoureux.

E.B