Ma dernière amour je vous l'ai donnée,
et à quoi bon la délaisser ?
Si je dois m'éteindre ce matin,
en aimant le bleu humain.
Les faiblesses que j'en tire ce soir sont celles d'une passion déraisonnable pour ce qu'Elles ont de si belles, mes tendres amies. Pour les parcourir je touche du doigt osseux l'idéal instauré. Et je l'envoie danser.
A l'étalage des matins,
les soirs délicats,
me portent si loin
que j'y reviens déjà.
Les interférences pures qui m'enterrent ce soir sont celles de l'avortée, de la belle répétée, pour droite être à nouveau et écourter tes mots. Pour les parcourir je trace à l'encre rouge ma peau, et je m'en rappelle un instant.
et à quoi bon la délaisser ?
Si je dois m'éteindre ce matin,
en aimant le bleu humain.
Les faiblesses que j'en tire ce soir sont celles d'une passion déraisonnable pour ce qu'Elles ont de si belles, mes tendres amies. Pour les parcourir je touche du doigt osseux l'idéal instauré. Et je l'envoie danser.
A l'étalage des matins,
les soirs délicats,
me portent si loin
que j'y reviens déjà.
Les interférences pures qui m'enterrent ce soir sont celles de l'avortée, de la belle répétée, pour droite être à nouveau et écourter tes mots. Pour les parcourir je trace à l'encre rouge ma peau, et je m'en rappelle un instant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire