L'âge est dur ces âges-ci, et je me demande ces âges-ci, si nous ne ferions pas mieux ma douce,
D'aller en d'autres âges.
Je regrette presque le courage aveugle des Rimbaldiennes, d'aller danser dans les cafés Parisiens collée contre ton doux visage,
Je regrette les Rimbaldiennes, de crier au vent ! les visages sombres des institutions communes.
Qu'elles sont viles et qu'elles m'étouffent, elles me disent meurt d'un cœur épuisé sans choix. Aujourd'hui je dois m'élever en vous aimant justement, mais seuls les plaisirs m'en sont dérobés...
Ah les Rimbaldiennes par la langue je vous tiens, par le corps je vous étouffe, et par le pensée je vous retiens.
Dansons les, ces nouvelles !
D'aller en d'autres âges.
Je regrette presque le courage aveugle des Rimbaldiennes, d'aller danser dans les cafés Parisiens collée contre ton doux visage,
Je regrette les Rimbaldiennes, de crier au vent ! les visages sombres des institutions communes.
Qu'elles sont viles et qu'elles m'étouffent, elles me disent meurt d'un cœur épuisé sans choix. Aujourd'hui je dois m'élever en vous aimant justement, mais seuls les plaisirs m'en sont dérobés...
Ah les Rimbaldiennes par la langue je vous tiens, par le corps je vous étouffe, et par le pensée je vous retiens.
Dansons les, ces nouvelles !
1 commentaire:
Paris me manque.
C'est absurde je sais...
J'en ai marre d'ici. Je veux y retourner, je veux être avec lui.
Tu écris toujours aussi bien Clochette.
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